17 Bartassous au départ de La Grave…Par le bord du Tarn et le pont de Cureplat nous attaquons tranquillement la montée de la Pouncho . Un petit arrêt devant la plaque en souvenir de « Péloche » . Là, nous apprécions déjà une belle vue sur Millau . Encore quelques mètres de montée délicate et nous avons gravi 358 m de dénivelé . Un trés joli sentier en courbe de niveau et à la vue imprenable nous amène ensuite jusqu’à la Grotte du Hibou . Ensuite retour à la Grave par Saint Estève .
Tous les articles par Jean-Paul Lugans
Rando du Jeudi 26 Septembre
D’un petit parking à 5 km d’Arboras 13 Bartassous sont partis avec Marie thé pour l’ascension du Mont Saint Baudille. Après 3 km de montée tranquille une pente beaucoup plus raide nous attendait mais quelle vue magnifique après cet effort ; passage à la baume des Corneilles puis pique nique sous le Pioch de Roquebrune; lente descente dans la garrigue pour arriver aux Lavagnes ; retour aux voitures après 22 km et 800 m D+ . Merci Marie thé pour cette belle rando ensoleillée .
Rando du mardi 24 septembre
13 Bartassous pour cette rando animée par Jean Claude au départ du parking de l’Aven Noir ; direction Saint Sulpice et sa charmante chapelle, traversée du Trévezel (à sec) avant l’ascension de 380 m de dénivelé pour arriver sur le Causse Noir; direction la pointe sud, petite pause pour admirer les belles corniches surplombant le Trévezel et visite de la grotte Bergerie avant la descente vers Cantobre ; retour par les Plos aux voitures; Merci à Catherine et Jean Claude pour cette belle rando . 11 km et 580 m D+
Rando du 19 septembre
Avec Catherine et Jean-Claude au départ des Baumes vers La Clapade et sa magnifique grotte, puis petit détour vers la chapelle de Mauriac; rapide montée vers le Pompidou où une pause pique-nique est la bienvenue ; un tour par les corniches et la grotte du boulanger puis direction la Salvage, Font pauvre et retour au Baumes : 19 km et 920 m de dénivelé .
Merci à Catherine et Jean-Claude pour cette très belle rando ensoleillée .
Rando du 10 septembre
8 bartassous pour cette Rando de reprise animée par Henri au départ du rond point des Aumières ,direction le puech de l’Oule , le bois de Gales , Soulobres , Brocuéjouls et les 3 Buissières ; de belles vues sur le viaduc ; 10, 4 km et 200 m D+
Merci Henri pour cette rando douce .
Forum des Associations
SEJOUR sur la MARGERIDE
Séjour du 14 au 17 Mai 2024 en hôtel à Rieutort de Randon (48)
Inscription possible sur le bulletin à imprimer (voir en début des séjours 2024) avec un chèque de 100 € à titre d’arrhes.
4 jours de randos : force 3 – 4
1 – de St Gal vers le lac de Ganivet et serverette: 20 km -400 D+
2 – de Rieutort vers le lac de Charpal et le Truc de Fortunio (1552 m) 29 km et 800 D+
3 – Ste Eulalie vers Le Sauvage 20 km et 450 D+
4 – Grandrieu et le Roc de Fenestre (1489 m) 28 km et 700 D+
Ces randos peuvent varier suivant la météo; Environ 250 € covoiturage compris .Maxi 16 randonneurs.
Les inscriptions seront enregistrées dans l’ordre d’arrivée des chèques au local.
Liste d’attente au delà de 16 inscrits .
Jean Paul LUGANS
jlugans@outlook.fr
06 80 96 07 83
Séjour à PONT-les -BAINS
Durant 4 jours, un groupe de 17 bartassous a parcouru quelques dizaines de
kilomètres dans le centre du département,
Le premier jour a permis de voir et d’arpenter le trou de Bozouls, site géologique
creusé par les eaux, et le panorama du Causse Comtal,
Mardi, nous avons tourné autour des vignes de Marcillac, plusieurs villages
ont été traversés, Gradels, Fijaguet (le plus beau!) Panat, Clairvaux, CassagnesComtaux, Valady,
Le lendemain, nous avons poussé jusqu’à la vallée du Lot,
le matin, nous avons emprunté un sentier dit « les vieilles vignes » qui nous a
ramené sur le joli village de St Côme d’Olt avec ses très jolies demeures et son
fameux clocher flammé.
Après un pique-nique déjà mérité, nous sommes montés vers Roquelaure et
son beau château, ainsi que sa chapelle attenante.
Ensuite, nous avons pu marcher sur le clapas de Thubiès qui est une autre curiosité
géologique avec ses blocs de pierres qui semblent être descendus de la cime, telle une
coulée de lave.
Pour le dernier jour, nous sommes partis à pieds de l’hôtel vers Salles-la-Source
et sa fameuse cascade qui coule sans cesse, de là, nous sommes revenus vers
Marcillac en suivant le balcon du Créneau. Un pont conçu pour le train nous a permis
de rejoindre l’autre versant de la vallée, la traversée de la Roque, Cougousse et
Gourjean a eu raison de nos mollets et c’est avec satisfaction que le groupe a retrouvé
Pont les Bains,
Au total, il a été parcourus pendant 80 kilomètres et 2200 mètres ont été gravis
La bonne cohésion et la bonne humeur de l’ensemble des bartassous ont rendu ce
séjour très agréable.
Bien entendu, la qualité de l’hébergement et la gentillesse du personnel est à ajouter
au crédit de l’ensemble.
Outre le plaisir de randonner et la dimension conviviale de moments partagés, ce
séjour a permis de suivre les traces de l’histoire locale en traversant des villages et
des hameaux témoignant d’une vie économique et culturelle ancrée dans ces
territoires attachants,
Merci à tous. Bernard C.
Un grand merci à Bernard et Michèle pour l’organisation de ce séjour très réussi ..soleil ..magnifiques randos …ambiance…
Le Larzac du sud au nord
Le mercredi 12 avril , 21 « bartassous » motivés et plein d’entrain se sont retrouvés à la gare routière de Millau, aussi déserte à cette heure matinale que certains coins du causse qu’ils prévoyaient d’arpenter.
Après un voyage en bus bien au chaud jusqu’à Lodève qui a permis à chacun de mesurer distance et dénivelée à parcourir avant de regagner ses pénates, nous nous retrouvons à la gare routière de Lodève au départ de la première étape qui doit nous conduire au Caylar . Un petit arrêt pour la photo souvenir devant le portail de la cathédrale Saint Fulcran et déjà un premier raidillon à gravir pour s’échauffer les mollets et atteindre le plateau des Tuilières et son site paléontologique connu pour ses belles empreintes de fougères.
La pente se fait douce et le sentier traverse un paysage méditerranéen de garrigue coloré par le jaune de genêts d’Espagne et le blanc des prunelliers, passe par les beaux villages de Soumont et de Fozieres avant d’atteindre Soubès au pied de la première grosse difficulté constituée par la montée sur le Larzac.
Pas de quoi faire reculer nos « bartassous » et les quelques kilomètres à travers les vignes et la magnifique forêt de pins sont vite « avalés ».
L’arrêt casse croûte aux ruines de la Chapelle Saint Clément de Man nous permet de souffler un peu et surtout d’admirer le magnifique point de vue avec au premier plan les avants causses et la vallée de la Lergue, au second plan le cirque de Mourèze et le pic de Vissou et en arrière plan Sète et la Méditerranée.
Après un deuxième arrêt aux ruines imposantes de l’ancienne ferme du Mas de Rouquet et son parc d’arbres centenaires, nous traversons un petit chaos dolomitique en marchant sur le « gresou » puis la vue se dégage à l’approche de la source de « la Padenette » et nous cheminons alors à travers les « pelencs » dans un paysage aux « standards » plus caussenards et aux vastes horizons.
Après 28 km et 1000 m de dénivelée, nous avons pu profiter pleinement de la qualité de l’accueil et de la cuisine du gîte du Caylar en savourant un plat de lasagnes digne de la meilleure trattoria.
Quelques « bartassous » ont même profité de la soirée pour faire l’ascension du Roc Castel et ses 752 mètres.
Le deuxième jour, après une nuit réparatrice, nous entamons la deuxième étape sous un ciel menaçant mais qui laisse entrevoir quelques coins de ciel bleu.
Pas de quoi nous faire reculer d’autant que le sentier emprunte pendant plus de 3 km une magnifique « bouissière » qui offre un abri des plus efficaces contre les assauts du vent.
Après avoir franchi la frontière Aveyron / Hérault, le ciel se déchire enfin et le soleil se fait plus généreux à notre arrivée à la Couvertoirade ce qui nous permet d’avoir depuis le col des Fourches une vision originale et panoramique sur la cité templière que nous ne faisons que traverser car encore endormie dans une torpeur quasi hivernale.
Par de larges pistes nous atteignons la ferme de Belvezet (belle vue en occitan), nous prenons le temps d’en admirer l’architecture templière, passons devant la magnifique lavogne dallée symbole de l’agro pastoralisme caussenard et arrivons à la Blaquererie où le casse croûte de midi est vite expédié car les « marsincades » se succèdent sans répits et les abris sont rares.
Après une traversée d’une belle pinède, nous débouchons sur une large clairière qui abrite la gare de Font-vive et attendons vainement un train qui ne viendra jamais, la ligne Tournemire / le Vigan étant désaffectée depuis 1951.
En désespoir de cause, nous empruntons le large chemin qui remplace la voie ferrée, laissons de coté les Canalettes et ses fameuses canoles pour atteindre l’Hospitalet du Larzac où nous faisons halte place de l’Église devant le zoo fondé par le docteur Reynaud. Ce zoo, fermé depuis 1971, présentait une collection d’oiseaux locaux et exotiques dont le célèbre aigle.
La pluie menaçant, nous traversons rapidement les bois de « la Crémade », un petit crochet pour une halte à l’ermitage Saint Amand et c’est l’arrivée à la Cavalerie.
Après 30 km et 600 m de dénivelée, chacun a pu profiter alors d’un repos bien mérité au coin du feu allumé fort opportunément par la propriétaire du gîte. Les conversations vont bon train dans la bonne humeur autour d’un savoureux « pelou ».
Là encore, hébergement et repas furent largement à la hauteur.
Le troisième jour, dans la fraîcheur du matin nous démarrons cette dernière étape plus motivés que jamais sachant le but proche et surtout les prévisions météo pessimistes pour l’après midi.
Les paysages de steppes qui se déroulent à l’infini nous sont plus familiers.
Nous longeons la forêt des arbres de la Liberté plantée en novembre 1989 par 1789 petites écoliers, laissons de coté les chaos de rochers du Rouquet blanc (et son célébré chameau) et du Rajal del Gorp, pour rejoindre par la « voie royale » qui reliait Condatomagus à Luteva, la ferme de Saint Michel.
Le temps se faisant de plus en plus en plus menaçant, le casse croûte à la Croix des scouts est vite expédié ce qui nous a permis de savourer pleinement les derniers kilomètres de notre itinérance entre le col du Renard et Millau à travers la forêt de pins noirs de Coste Vieille. Pierre C.
Un grand merci à Pierre et Michèle pour l’organisation parfaite de ce séjour ainsi qu’à Nathalie et Françoise pour leur délicieux cocktail.